1032 père de dios: J’ai patiemment attendu un long moment pour répondre à mes enfants, encore une fois, dans ma volonté de Santa

Le Livre de la Vérité:

Lundi 27 janvier 2014, à 17:18 hrs., message 1032 de vérité du livre. Dios Padre à Marie de la miséricorde divine :

Ma chérie ma fille, combien la peur, lorsque c’est inutile ! Quand je donne au monde un cadeau d’une telle ampleur, cela se fait par pur sens du devoir, qui est né de mon grand amour pour tous mes enfants.

Je les préviens pour protéger chacun d’entre vous. je vous révélez partie de moi, dans chaque message que vous donnez au monde. Vous, mon enfant, je montre mon grand désir d’être proche de mes enfants. Je vous montrer ma compassion, ma joie, ma désapprobation, ma colère, mon amour et ma miséricorde. Alors, voilà, que je peux être proche de mes enfants, vous avez peur de moi ? Vous ne devriez pas être peur d’un père qui aime tous leur progéniture et surtout pécheurs, défiant ouvertement chaque loi donnée à vous par moi, afin d’apporter à l’humanité au sein de ma tendresse.

Enfants, sont prêts à accepter ma grande bonté ! Ouvrez vos cœurs pour m’accueillir, son père bien-aimé ! Prêt à m’accueillir et m’appeler à chaque fois que la peur se glisse dans ses pensées, lorsque vous essayez de parvenir à un accord avec ces messages ! Ces messages sont uniques. Elles sont présentées dans le monde de la Sainte Trinité. Ils sont considérés par moi, comme la mission la plus importante sur terre, étant donné que j’ai envoyé mon Fils unique, de racheter les.

Cela, ma parole, devrait être acceptée avec un coeur aimable et reconnaissant ! Bienvenue à mes paroles ! Sont heureux en sachant que tout ce qui est, reste et restera toujours, au sein de mon mandat. ! Je suis tout c’est et sera. Toutes les décisions, ainsi que l’avenir de l’humanité et le destin du monde à venir, restent avec moi. J’ai jamais eux atemorizaría intentionnellement, enfants. Ce que je vais faire, est de les préparer pour mon nouveau royaume, afin qu’ils soient adaptés pour lui, quand la douleur et le chagrin ne sont pas plus.

Soyez en paix, mes enfants belles et désirables ! Tu es tout pour moi, j’ai inclus les tous ici, tous les pécheurs. Ceux qui ne reconnaissent pas de moi, tous ceux qui idolâtrent Satan, tous mes fidèles, ces enfants, dont les âmes ont été saisis. Tu Me m’appartiens, uniquement à mon. Je ne laisserai pas même une seule âme pour ignorer cela, ma dernière tentative pour préparer le monde à la seconde venue de mon Fils bien-aimé.

Aucun de vous ne sera laissé intact par ma main de miséricorde. Permettez-moi d’ouvrir leur cœur afin qu’ils être béni par ma main !

Me dire : « cher père, atteint et touche mon corps et âme avec la main de la miséricorde. Amen. » Je vais immédiatement répondre à votre appel.

Allez-y, mes enfants et être en paix, parce que mon intervention sera sa grâce du Salut, peu importe combien difficile est la période qui est à venir ! J’ai hâte d’ouvrir la porte de mon nouveau paradis, avec amour dans mon cœur, que je vous invite à venir à moi, son père.

J’ai patiemment attendu un long moment de réunir mes enfants encore une fois, dans ma volonté de Santa. Ce jour est proche, et mon cœur se réjouit en prévision du moment, quand l’homme revient à sa place qui vous convient, à côté de moi.

Votre père aimant, le très-haut Dios”

1032. Père de Dios: J’ai patiemment attendu un long moment pour répondre à mes enfants, encore une fois, dans ma volonté de Santa

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Catholique (Romain Catholique):

Livre de Néhémie 8,2-4a.5-6.8-10.

En ces jours-là, le prêtre Esdras apporta la Loi en présence de l’assemblée, composée des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre. C’était le premier jour du septième mois.
Esdras, tourné vers la place de la porte des Eaux, fit la lecture dans le livre, depuis le lever du jour jusqu’à midi, en présence des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre : tout le peuple écoutait la lecture de la Loi.
Le scribe Esdras se tenait sur une tribune de bois, construite tout exprès.
Esdras ouvrit le livre ; tout le peuple le voyait, car il dominait l’assemblée. Quand il ouvrit le livre, tout le monde se mit debout.
Alors Esdras bénit le Seigneur, le Dieu très grand, et tout le peuple, levant les mains, répondit : « Amen ! Amen ! » Puis ils s’inclinèrent et se prosternèrent devant le Seigneur, le visage contre terre.
Esdras lisait un passage dans le livre de la loi de Dieu, puis les lévites traduisaient, donnaient le sens, et l’on pouvait comprendre.
Néhémie le gouverneur, Esdras qui était prêtre et scribe, et les lévites qui donnaient les explications, dirent à tout le peuple : « Ce jour est consacré au Seigneur votre Dieu ! Ne prenez pas le deuil, ne pleurez pas ! » Car ils pleuraient tous en entendant les paroles de la Loi.
Esdras leur dit encore : « Allez, mangez des viandes savoureuses, buvez des boissons aromatisées, et envoyez une part à celui qui n’a rien de prêt. Car ce jour est consacré à notre Dieu ! Ne vous affligez pas : la joie du Seigneur est votre rempart ! »

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 12,12-30.

Frères, prenons une comparaison : le corps ne fait qu’un, il a pourtant plusieurs membres ; et tous les membres, malgré leur nombre, ne forment qu’un seul corps. Il en est ainsi pour le Christ.
C’est dans un unique Esprit, en effet, que nous tous, Juifs ou païens, esclaves ou hommes libres, nous avons été baptisés pour former un seul corps. Tous, nous avons été désaltérés par un unique Esprit.
Le corps humain se compose non pas d’un seul, mais de plusieurs membres.
Le pied aurait beau dire : « Je ne suis pas la main, donc je ne fais pas partie du corps », il fait cependant partie du corps.
L’oreille aurait beau dire : « Je ne suis pas l’œil, donc je ne fais pas partie du corps », elle fait cependant partie du corps.
Si, dans le corps, il n’y avait que les yeux, comment pourrait-on entendre ? S’il n’y avait que les oreilles, comment pourrait-on sentir les odeurs ?
Mais, dans le corps, Dieu a disposé les différents membres comme il l’a voulu.
S’il n’y avait en tout qu’un seul membre, comment cela ferait-il un corps ?
En fait, il y a plusieurs membres, et un seul corps.
L’œil ne peut pas dire à la main : « Je n’ai pas besoin de toi » ; la tête ne peut pas dire aux pieds : « Je n’ai pas besoin de vous ».
Bien plus, les parties du corps qui paraissent les plus délicates sont indispensables.
Et celles qui passent pour moins honorables, ce sont elles que nous traitons avec plus d’honneur ; celles qui sont moins décentes, nous les traitons plus décemment ;
pour celles qui sont décentes, ce n’est pas nécessaire. Mais en organisant le corps, Dieu a accordé plus d’honneur à ce qui en est dépourvu.
Il a voulu ainsi qu’il n’y ait pas de division dans le corps, mais que les différents membres aient tous le souci les uns des autres.
Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance ; si un membre est à l’honneur, tous partagent sa joie.
Or, vous êtes corps du Christ et, chacun pour votre part, vous êtes membres de ce corps.
Parmi ceux que Dieu a placés ainsi dans l’Église, il y a premièrement des apôtres, deuxièmement des prophètes, troisièmement ceux qui ont charge d’enseigner ; ensuite, il y a les miracles, puis les dons de guérison, d’assistance, de gouvernement, le don de parler diverses langues mystérieuses.
Tout le monde évidemment n’est pas apôtre, tout le monde n’est pas prophète, ni chargé d’enseigner ; tout le monde n’a pas à faire des miracles,
à guérir, à dire des paroles mystérieuses, ou à les interpréter.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 1,1-4.4,14-21.

Beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,
d’après ce que nous ont transmis ceux qui, dès le commencement, furent témoins oculaires et serviteurs de la Parole.
C’est pourquoi j’ai décidé, moi aussi, après avoir recueilli avec précision des informations concernant tout ce qui s’est passé depuis le début, d’écrire pour toi, excellent Théophile, un exposé suivi,
afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as entendus.
Lorsque Jésus, dans la puissance de l’Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région.
Il enseignait dans les synagogues, et tout le monde faisait son éloge.
Il vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.
On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
‘L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,
annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.’
Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »”

https://levangileauquotidien.org/FR/gospel/2019-01-27

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Orthodoxe (Grec catholique):

“… 26 Jésus est donc bien le grand-prêtre qu’il nous fallait: il est saint, pleinement innocent, indemne de tout péché, séparé des pécheurs et il a été élevé plus haut que les cieux. 27 Les autres grands-prêtres sont obligés d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour leurs propres péchés, ensuite pour ceux du peuple. Lui n’en a pas besoin, car il a tout accompli une fois pour toutes, en s’offrant lui-même.

28 Les grands-prêtres institués par la Loi sont des hommes marqués par leur faiblesse. Mais celui que Dieu a établi grand-prêtre par un serment solennel, prononcé après la promulgation de la Loi, est son propre Fils, et il a été rendu parfait pour toujours.

Christ, grand-prêtre d’une alliance bien meilleure

8.1 Or, voici le point capital de ce que nous sommes en train de dire: nous avons bien un grand-prêtre comme celui-ci, qui s’est assis dans le ciel à la droite du trône du Dieu majestueux. Il y accomplit le service du grand-prêtre dans le sanctuaire, c’est-à-dire dans le véritable tabernacle, dressé non par des hommes, mais par le Seigneur.

Tout grand-prêtre, en effet, est établi pour présenter à Dieu des offrandes et des sacrifices. Il faut donc que notre grand-prêtre aussi ait quelque chose à présenter.  …”

https://www.biblegateway.com/passage/?search=Hebrews+7-8&version=NRSVCE;NR2006;SCH2000;ERV-HU;BDS

La parabole de l’argent à faire fructifier

(Lc 19.12-27)

14 Il en sera comme d’un homme qui partit pour un voyage: il convoqua ses serviteurs et leur confia l’administration de ses biens. 15 Il remit à l’un cinq lingots[a], à un autre deux, et à un troisième un seul, en tenant compte des capacités personnelles de chacun. Puis il s’en alla. 16 Celui qui avait reçu les cinq lingots se mit aussitôt à les faire fructifier, de sorte qu’il en gagna cinq autres. 17 Celui qui en avait reçu deux fit de même et en gagna deux autres. 18 Quant à celui qui n’en avait reçu qu’un, il s’en alla creuser un trou dans la terre pour y cacher l’argent de son maître.

19 Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et leur fit rendre compte de leur gérance.

20 Celui qui avait reçu les cinq lingots se présenta, apportant les cinq lingots supplémentaires qu’il avait gagnés.

«Maître, dit-il, tu m’avais remis cinq lingots, j’en ai gagné cinq autres. Les voici.

21 – Très bien, lui dit son maître, tu es un bon serviteur, en qui l’on peut avoir confiance. Tu t’es montré fidèle en peu de choses. C’est pourquoi je t’en confierai de plus importantes. Viens partager la joie de ton maître!»

22 Celui qui avait reçu les deux lingots se présenta aussi et dit: «Maître, tu m’avais remis deux lingots, j’en ai gagné deux autres. Les voici.

23 – Très bien, lui dit son maître, tu es un bon serviteur, en qui l’on peut avoir confiance. Tu t’es montré fidèle en peu de choses. C’est pourquoi je t’en confierai de plus importantes. Viens partager la joie de ton maître!»

24 Enfin, celui qui n’avait reçu qu’un lingot vint à son tour et dit: «Maître, je savais que tu es un homme dur: tu moissonnes là où tu n’as rien semé, tu récoltes où tu n’as pas répandu de semence. 25 Alors, j’ai pris peur et je suis allé cacher ton argent dans la terre. Voilà: prends ce qui t’appartient.»

26 Mais son maître lui répondit: «Vaurien! Fainéant! Tu savais que je moissonne là où je n’ai rien semé et que je récolte là où je n’ai pas répandu de semence! 27 Eh bien, tu aurais dû placer mon argent chez les banquiers et, à mon retour, j’aurais récupéré le capital et les intérêts. 28 Qu’on lui retire donc le lingot et qu’on le donne à celui qui en a déjà dix.

29 Car à celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance. Mais à celui qui n’a pas, on ôtera même ce qu’il a. 30 Quant à ce vaurien, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et d’amers regrets.»

https://www.biblegateway.com/passage/?search=Matthew+25%3A14-30&version=NRSVCE;NR2006;SCH2000;ERV-HU;BDS

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https://oca.org/readings/daily/2019/01/27
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